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Eric Puisais, Université de Poitiers. « Pas de paix sans justice sociale ».Eric Puisais est docteur en philosophie. Après avoir d’abord travaillé sur la réception de la pensée hégélienne en France et sur le matérialisme des Lumières, il a suivi ensuite une carrière professionnelle d’une dizaine d’années en cabinet politique avant de s’engager dans un second travail de doctorat, en géographie sociale et politique, sur le thème des territoires et de la gouvernementalité. Il est actuellement chargé de cours en philosophie et sciences politiques à l’université de Poitiers. |
Teresa Almeida, Université de Coimbra. « The EU’s Approach to Peace Missions and Operations: Building a Positive Peace in the Periphery? ».Teresa Almeida Cravo est chercheuse au Centre d’études sociales, au sein du groupe de recherche sur les sciences humaines, les migrations et la paix. Elle enseigne les relations internationales à la faculté d’économie, de l’université de Coimbra. Ses recherches portent sur les perspectives critiques de la paix et de la violence, la sécurité, le développement, l’interventionnisme mondial et la politique étrangère, en particulier dans le contexte lusophone, ainsi que sur le poststructuralisme et l’analyse du discours. |
Niall O Dochartaigh, Anna Tulin-Brett, Université de Galway. « Theory in Practice: Conflict Resolution Scholarship and Peacemaking Practice in Northern Ireland ».Niall Ó Dochartaigh est professeur à l’Université nationale d’Irlande, à Galway. Ses recherches portent sur les conflits, les négociations, les processus de paix, le territoire et les nouvelles technologies. Ses recherches actuelles analysent la communication par voie détournée entre le gouvernement britannique et l’IRA lors du conflit en Irlande du Nord. Il dirige le groupe de recherche sur les conflits, l’humanitarisme et la sécurité au sein du Whitaker Institute et préside le comité de recherche de l’école de sciences politiques et de sociologie. |
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Anna Tulin Brett est doctorante à l’École de sciences politiques et de sociologie de l’Université de Galway. Sa thèse analyse comment les modèles spécifiques de la théorie de la paix ont été appropriés et déployés par des praticiens travaillant à la consolidation de la paix et à la pratique interculturelle en Irlande du Nord. Anna est titulaire de deux masters. L’un en coopération internationale et gestion de crise à l’université d’Uppsala, et l’autre en études psychanalytiques à l’école de psychologie du Trinity College de Dublin. Anna a travaillé comme responsable de l’éducation au Centre multiculturel de Botkyrka (Suède) sur les questions de diversité, d’antiracisme et de politique interculturelle. |
Anne Cousson, Université de Poitiers. « Démocratie, droits de l’homme, construction de la paix ».Anne Cousson est maîtresse de conférences en civilisation britannique à l’Université de Poitiers. Elle est l’auteur d’une thèse intitulée « Droits de l’homme au Royaume-Uni entre 1998 et 2010 : entre politique nationale et droit international ». Ses recherches portent sur la politique britannique contemporaine, les droits de l’homme, les institutions politiques britanniques et la politique du droit. |
Marion Picker, Université de Poitiers, et Anne Peiter, Université de La Réunion. « ‘Guerra c’è sempre’. Réflexion sur l’impossible fin de conflit ».Marion Picker est maître de conférences en études germaniques à l’Université de Poitiers, membre du MIMMOC et chercheure associée au Centre Marc Bloch Berlin depuis 2018. Elle s’intéresse aux tropes, concepts et images qui façonnent notre perception et notre pensée. Elle a publié un livre sur le « caractère conservateur » de Walter Benjamin et recueil de poèmes, et a dirigé récemment un numéro des MLN, « Life Lines. Poems, Poetry, Poetics » (avec Elke Siegel) ainsi qu’un numéro des Cahier du MIMMOC sur la prothèse qui fait peur (à paraître en septembre 2021). |
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Anne D. Peiter a effectué des études de germanistique, histoire et philosophie à Münster, Rome, Paris et Berlin. Lectrice du DAAD à la Sorbonne IV de 2001 à 2007, elle a soutenu sa thèse de doctorat à l’Université Humboldt de Berlin, sur le thème de « Komik und Gewalt. Zur literarischen Verarbeitung der beiden Weltkriege und der Shoah ». Elle exerce depuis 2007 comme maître de conférences à l’Université de La Réunion. En 2018, elle a obtenu son habilitation à la Sorbonne Nouvelle. Ses dernières publications sont « Der Träger. Zu einer tragenden Figur der Kolonialgeschichte », Transcript 2018 (actes de colloque, avec Sonja Malzner), et « Der Ausnahmezustand ist der Normalzustand, nur wahrer. Texte zu Corona », Büchnerverlag 2021 (Livre, écrit à deux mains, avec Wolfram Ette). |
Bernard Anoumo Dodji Bokodjin, Membre du Projet d’Appui à la Stabilisation et à la Paix au Mali (Ministère fédéral allemand des Affaires étrangères). « La justice transitionnelle dans le contexte africain : cas du Togo et du Mali ».Bernard Anoumo Dodji Bokodjin est sociologue et spécialiste en Droits humains, justice transitionnelle, prévention et gestion des conflits en période électorale. Il est actuellement conseiller technique sur le « traitement du passé » dans le cadre du Projet d’appui à la Stabilisation et à la Paix (PASP) de la Société allemande pour la coopération internationale (GIZ). Il a pris part aux travaux de la Commission Vérité Justice et Réconciliation au Mali. Il a été personne ressource au Haut-Commissariat à la Réconciliation et au Renforcement de l’Unité Nationale, tout comme directeur de la « promotion des droits de l’Homme » du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT).. |
Josje van der Linden et Ana Rodrigues-Vasse, Université de Groningen. « International cooperation in education at the crossroads: fostering youth agency amidst conflict and uncertainties in northern Mozambique ».Josje Van der Linden est titulaire d’un Master en Sciences de l’éducation à l’Université Vrije d’Ams-terdam. Après avoir occupé différents postes dans l’enseignement supérieur, et la formation des adultes aux Pays-Bas, elle a vécu et travaillé presque dix ans en Afrique. Elle a établi un service de soutien éducatif à l’université Ahfad, pour les femmes soudanaises et a contribué à la création d’une nouvelle faculté d’éducation à l’université Eduardo Mondlane au Mozambique. De retour aux Pays-Bas, elle a travaillé comme maître de conférences et chercheuse sur l’apprentissage tout au long de la vie, à l’université de Groninguen. En 2016, elle a obtenu son doctorat sur le thème « Garan-tir des opportunités d’apprentissage tout au long de la vie significatives pour les groupes à risque ». Ses recherches englobent le domaine de l’éducation des adultes et de l’apprentissage tout au long de la vie en Afrique et aux Pays-Bas, avec une attention particulière pour les femmes et les jeunes dans les zones de (post-)conflit. |
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Ana Rodrigues-Vasse est maître de conférences et chercheuse à l’université de Groninguen, où elle coordonne également les enseignements de mineures sur le développement. Elle est experte dans le domaine de l’agriculture et le milieu rural, en particulier dans les pays du Sud. Ses re-cherches actuelles portent sur la compréhension de la dynamique de l’enseignement et de la for-mation agricole, et sur sa contribution aux moyens de subsistance des jeunes ruraux au Mozam-bique et en Ouganda, notamment. Récemment, elle a écrit un chapitre et coédité l’ouvrage Youth, Education and Work in post-conflict areas, basé sur son expérience de l’organisation de l’école d’été homonyme à Gulu, en Ouganda, en 2018. |
Catherine Lutard, Sciences po Saint-Germain-en-Laye/DynamE-UMR7367.« Le pouvoir du droit et la justice transitionnelle : un exemple européenLes travaux de Catherine Lutard portent sur les sociétés qui sortent de conflits (dictature, guerres civiles) et qui mettent en place (ou non) des procédures de « justice transitionnelle ». Sur la base d’un travail empirique dans l’ex-Yougoslavie, elle analyse le droit en pratique, le pouvoir du droit et la création des normes de justice pénale relatives aux guerres et violence de masse, ses dimensions polémogènes. Mais aussi les processus de construction nationale et internationale des politiques mémorielles, tout comme les procédures judiciaires locales en charge des crimes de guerre. |
Lina Strupinskienė, Université de Vilnius. « Rehabilitation of ICTY convicted war criminals: early overview of the empirical reality ». Balkans.Lina est titulaire d’une licence en sciences politiques (Université de Vilnius), d’une maîtrise en études des conflits et droits de l’homme (Université d’Utrecht) et a soutenu sa thèse de doctorat en 2015 sur l’impact du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) sur la réconciliation en Bosnie-Herzégovine à l’Université de Vilnius. En 2010, elle a fait un stage au TPIY et a fait partie de l’équipe de recherche sur le leadership au Bureau du Procureur, où elle a travaillé sur l’affaire du président Radovan Karadžić. Actuellement, Lina travaille en tant que directrice adjointe des études à l’université de Vilnius et donne des cours liés à l’analyse des conflits ethniques violents, aux études sur la paix et à la justice transitionnelle. Elle est membre du groupe d’experts des Balkans occidentaux au Centre d’excellence européen pour la lutte contre les menaces hybrides à Helsinki. Son domaine d’expertise est la région des Balkans occidentaux, avec un accent particulier sur la justice transitionnelle et la réconciliation. |
Ludivine Thouverez, Université de Poitiers. « Le journalisme de la paix: théorie, pratique, enjeux ».Docteure en Sciences de l’information et de la communication (Universitat Autònoma de Barcelona), Ludivine Thouverez est Maîtresse de Conférences en Études hispaniques à l’Université de Poitiers.Elle a obtenu le Prix Alexandre Varenne 2010 pour sa thèse «Analyse critique du discours sur le Groupe Antiterroriste de Libération dans la presse française et espagnole (1983-1986) ». Ses thèmes de recherche portent sur l’histoire contemporaine espagnole, les nationalismes basque et catalan, l’analyse critique du discours. |
Salvador Percastre, Université nationale autonome du Mexique. « La construction de la paix à travers le journalisme local au Mexique: une utopie? ».Salvador Percastre-Mendizábal est docteur en Communication politique de l’Universitat Pompeu Fabra de Barcelone et en Information et communication de l’Université Libre de Bruxelles. Ses thèmes de recherche portent sur la communication politique, les médias et la communication d’urgence. Il a enseigné à l’Université de Lleida, l’UPF et divers établissements universitaires d’Espagne et du Mexique. Membre du Groupe de recherche Comunicació Política, Periodisme i Democràcia (Polcom-GRP) de l’UPF ; de l’European Communication Research and Education Association et de l’Asociación Latinoamericana de Investigadores en Campañas Electorales, il a participé à plusieurs projets de recherche en Espagne, publié divers articles et travaillé en tant que consultant et collaborateur de médias. |
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Diplômée en Sciences de la communication à l’Université nationale autonome du Mexique, Mayra Ruíz travaille comme journaliste pour le supplément Gastrolab de El Heraldo de México. Elle a été rédactrice dans des médias, tels que ADN 40 et Milenio Noticias, numéro un des médias numériques au Mexique. Spécialiste et rédactrice en communication numérique, elle a effectué des stages à la Direction générale de la politique éducative, des bonnes pratiques et de la coopération, au ministère de l’Éducation publique du gouvernement fédéral mexicain. |
Renée Tosser, université de La Réunion.« Problématiques accords de paix de 1998 et difficile réconciliation en Irlande du Nord ».Renée Tosser est maître de conférences en civilisation irlandaise, spécialiste du nationalisme irlandais, en poste à l’Université de la Réunion. Elle travaille depuis une quinzaine d’année sur l’imagerie politique d’Irlande du Nord, ainsi que les conflits inter communautaires qui perdurent dans ce pays. Les notions d’espaces et de territoires constituent le noyau de sa réflexion où la recherche de terrain, la prise de photos et les rencontres avec la population des deux communautés, jouent un rôle majeur. Renée a présenté ses travaux en Irlande, au Canada et aux Etats-Unis entre 2016 et 2019. |
Alexandra Palau, Université de Dijon.« Stratégies politiques et médiatiques dans la gestion de la post-crise catalane ».Alexandra Palau est maître de conférences en civilisation espagnole contemporaine à l’université de Dijon. Elle est l’auteur d’une thèse sur le discours politique de Manuel Azaña sous la deuxième république espagnole (1937-1939) et s’intéresse aux processus de construction identitaire et aux discours politique et médiatique. Elle a récemment publié « Processus de transformation et consolidation identitaires dans les sociétés européennes et américaines aux XXe-XXIe siècles » (2020), en collaboration avec Marc Smith. |
Johanna Carvajal González, Aix-Marseille Université / Université d’Antioquia (Colombie). « Casa Kolacho : les artistes porte-parole des mémoires plurielles de la Comuna 13 (Medellín, Colombie) ».Johanna Carvajal González, historienne de l’art et du théâtre de l’Université de Bologne (Italie), est doctorante au sein d’Aix-Marseille Université, en cotutelle avec la Faculté d’art de l’Université d’Antioquia (Colombie). Sa recherche « Les récits de guerre : comment l’art véhicule la mémoire du conflit armé en Colombie » touche à des sujets liés à la situation sociale et politique du pays. La réparation des victimes et les alternatives à la violence à travers l’art sont les vecteurs qui guident son travail. Les cas d’étude abordés sont la « résistance pacifique » du collectif Casa Kolacho dans la Comuna 13 à Medellín et le Festival d’arts de la scène Selva Adentro dans le Chocó.Elle tient ainsi à partager ses réflexions afin de créer un espace de dialogue autour des stéréotypes et des lieux communs qui empêchent la re-signification de la société dont la Colombie est en quête, notamment dans son blog : https://artetconflitencolombie.wordpress.com. |
Pascal Plas, Université de Limoges. « Les restitutions, un enjeu majeur du post conflit au XXIe siècle ».Pascal Plas (Chaire d’excellence Gestion du conflit et de l’après conflit-Université de Limoges) est directeur de l’Institut international de recherche sur la conflictualité (IiRCO), OMIJ, Faculté de droit, Limoges. Historien, juriste spécialiste des conflits contemporains et des situations post conflictuelles (justice pénale internationale, justice transitionnelle et processus de réconciliation, mémoires et oublis), droit pénal militaire. Directeur éditorial (Dossiers de l’IiRCO), co-auteur et conseiller historique de films documentaires, conseiller scientifique et scénographe de plusieurs établissements d’interprétation historiques et muséographiques. |
Daniela Nascimento & Carla Prado, Université de Coimbra. «The challenges of combining memory, human rights and peacebuilding in post-violence settings: the role of truth-seeking mechanisms and grassroots activism in Algeria and Tunisia ».Daniela Nascimento est titulaire d’un doctorat en politique internationale et résolution des conflits de l’université de Coimbra, d’une licence en relations internationales de la même université et d’un master européen en droits de l’homme et démocratisation du Centre intereuropéen pour les droits de l’homme et la démocratisation. Elle est membre du groupe de recherche sur la paix au centre d’études sociales et professeur à l’école d’économie de l’université de Coimbra, où elle enseigne aux niveaux de la licence et du doctorat en relations internationales, y compris le MA en études sur la paix, la sécurité et le développement, et le doctorat en politique internationale et résolution des conflits. Ses recherches portent sur les études sur la paix, les droits de l’homme, la consolidation de la paix et l’action humanitaire, notamment dans le contexte africain et au Timor-Oriental. |
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Carla Prado est doctorante en Politique internationale et résolution des conflits à l’Université de Coimbra. Elle est titulaire d’une licence en langues et relations internationales (2011) et d’un master en histoire, relations internationales et coopération (2013). Ses principaux axes de recherche sont la justice transitionnelle, les études sur la paix, le genre et la mémoire, la consolidation de la paix et la décolonisation. |
Paula Duarte Lopes, Université de Coimbra. « Embedding sustainable and resilient peace in justice and education in Timor ».Paula Duarte Lopes mène des recherches sur la paix (humanité, migration et groupe de Recherches et d’Etudes) et un professeur en Relations Internationales en école d’économie, à l’Université de Coimbra (FEUC).Elle est doctorante en Sciences des Politiques et Recherches Internationales, de l’Université Johns-Hopkins, avec la thèse Eau sans frontières. Elle a également un Master en Politique de l’Economie Mondiale, de l’école d’économie à Londres, et Sciences Politiques, et une Licence en Economie à FEUC.Elle donne des cours aux programmes de premier et de deuxième cycle en relations internationales, notamment le master en études sur la paix, la sécurité et le développement et le doctorat en politiqueinternationale et résolution des conflits.En 2017, elle a reçu un prix d’enseignement par le FEUC. Elle a été la vice présidente du CES du comité scientifique (2016-2018).Elle a organisé le projet de recherche « PP Eau Publique et réponses privées au manque de le manque d’argent pour l’approvisionnement en eau: Le cas Portugais » financé par le FCT, ainsi que l’équipe qui a rédigé la stratégie nationale d’éducation au développement (2017-2022). |
Jean-Pierre Massias, Université de Pau et des Pays de l’Adour/ IFJD. « Justice transitionnelle et répressions ouvrières ».Professeur de droit public à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, il préside de l’Institut Francophone pour la Justice et la Démocratie. Spécialiste des processus de transition démocratique et de Justice transitionnelle, il a été expert auprès de la Commission de Venise pour la Démocratie par le Droit du Conseil de l’Europe. Suite à deux séjours passés à l’Université d’Oxford, en tant que Senior Associate Member au Saint Antony’s college en 2002 et 2005, ses recherches se sont portées sur la résolution du conflit basque, les droits linguistiques et culturels des minorités et la Justice transitionnelle. Outre l’Europe de l’Est, il a participé à de nombreuses missions notamment au Burundi, en République centrafricaine, au Kurdistan irakien et en Territoires palestiniens. |
« Politiques publiques et lois mémorielles en Espagne: quelques points d’attention »Jordi Guixé est historien, directeur de l’Observatoire européen des mémoires (EUROM) de la Fondation Solidarité de l’Université de Barcelone et professeur associé. Il est titulaire d’un doctorat en histoire contemporaine de l’Université de Barcelone et de l’Université de Paris III (Mention Prix d’Honneur du Ministère de la Culture).Il est membre de plusieurs groupes de recherche, notamment de l’Institut des Sciences Politiques du Social du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) ou du Centre d’Estudis de les Èpoques Franquista i Democràtica de l’Universitat Autónoma de Barcelona (CEFID-UAB). En 2016, il a été élu vice-président du conseil d’administration du Comité international des musées commémoratifs en mémoire des victimes de crimes publics (IC-MEMO), l’un des 31 comités du Conseil international des musées (ICOM). |
Ana Catarina Zema et Clarisse Drummond, université de Laval. « Justice historique et réparation des peuples autochtones au Brésil et au Canada ».Ana Catarina Zema est stagiaire post doctorale à l’Université Laval, Québec. Elle détient un doctorat en Histoire Sociale de l’Université de Brasilia (UnB). Ses recherches portent sur la lutte historique des peuples autochtones pour droits et pour autonomie dans les Amériques. Depuis 2010, elle contribue à des projets de recherches ainsi qu’à des activités scientifiques auprès du Groupe D’Études sur les Droits Ethniques MOITARÁ de la Faculté de Droit à l’UnB, de l’Observatoire des Droits Autochtones (OBIND) et du Laboratoire d’Etudes Interdisciplinaires sur l’Accès à la Justice et aux Droits dans les Amériques (LEIJUS) du Département d’Etudes Latino-américaines de l’UnB. Ana Catarina Zema fait aussi partie du Groupe de Travail du Conseil Latino-américain des Sciences Sociales – CLACSO sur la Pensée Critique et le Décoloniale des Caraïbes. |
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Clarisse Drummond est anthropologue. Elle est titulaire d’un doctorat en sciences sociales du département d’études latino-américaines de l’Université de Brasília (UnB) et d’une maîtrise en politiques sociales. Elle a publié plusieurs articles sur la justice historique pour les peuples indigènes au Brésil et au Canada. |
Rencontre avec Mahmud Nasimi, écrivain, réfugié. « Ecrire après la crise ». Entretien mené par Stéphane Bikialo et Jean-Jacques Teixeira, Université de Poitiers.Mahmud Nasimi est écrivain. Il a quitté l’Afghanistan en avril 2013. Deux ans plus tard, il arrive en Belgique, où il rencontre Anabelle Rihoux. Il publie avec elle son premier livre De loin j’aperçois mon pays, qui raconte son épopée migratoire de 730 jours. Ses pas le conduisent ensuite à Paris, où il connait la vie de réfugié. Au cimetière du Père Lachaise, il se fait des amis : Balzac, Proust, Eluard… Grâce à eux, il découvre la littérature française. Elle fera basculer sa vie. Un Afghan à Paris, édité aux éditions du Palais, est son deuxième livre. |
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Stéphane Bikialo est professeur de linguistique et de littérature à l’Université de Poitiers, directeur des collections La Licorne, Ces récits qui viennent, et Bruits de langues, co-fondateur du festival littéraire « Bruits de langues » et du Master « Livres et médiations ». Il travaille en analyse critique des discours littéraires, notamment sur les œuvres de Claude Simon, Bernard Noël (dont il a préfacé le tome IV des Oeuvres complètes, La Comédie intime chez P.O.L), Lydie Salvayre (sur laquelle il a dirigé un ouvrage collectif chez Classiques Garnier, 2021), Leslie Kaplan, Jean-Charles Massera, François Beaune et Marie Cosnay. Il est l’auteur avec Julien Rault, Au nom du réalisme. Usage(s) politique(s) d’un mot d’ordre, Utopia, 2017. |
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Jean-Jacques Teixeira est étudiant en Master 2 « Livres et médiations ». Après une expérience de trois décennies dans le domaine du travail social, sa passion pour les livres (chemin de vie ou de l’imaginaire) et sa curiosité pour la géopolitique l’ont conduit vers une reconversion vers les métiers du livre. Il a été médiateur de plusieurs échanges publics avec des auteurs et des éditeurs lors du festival littéraire « Bruits de langues » et est impliqué dans différents projets, dont IBERIKA, concernant la diffusion de cultures alternatives de la péninsule ibérique dans ses différents modes d’expression. |
Isabelle Lucas, université de Poitiers / Médiatrice culturelle auprès du public migrant au centre social le Toit du Monde. « Le projet culturel au service du social ».Isabelle Lucas est médiatrice culturelle auprès du public migrant au centre social le Toit du Monde et enseignante associée et invitée (PAST) à l’université de Poitiers. Elle intervient dans le parcours LTMI (langues, traduction et médiation interculturelle) de la filière LEA. |